19 novembre 2006

COMMUNIQUE'

La plate forme Intercontinentale des MRE a annoncé depuis l'anneé derniére l'organisation d'un débat national sur la migration marocaine et a invité le gouvernement , les partis politiques, les ONG, les Syndicats, les membres des deux chambres pour participer dans ce debat qui est ouvert à tous sans exclure personne.Nous avons ecrits des lettres à toutes les societés marocaines pour le financement de ce debat de 3 jours.le 6 novembre 2006 S.M. le roi Mohamed VI a demandé à la CCDH de consulter les MRE pour lui faire des propositions sur le conseil supérieur des MRE et au moment ou' nous attendons l'invitation de la CCDH pour que nous présentons les propositions de la plateforme et aussi de consulter tous les ONG des MRE pour que la proposition au roi soit démocratique, la CCDH a décidé de donner 200 billets d'avion au groupe Al Monadara et d'exclure les autres ONG MRE.
Extrait du discour royal:
A cet égard, Nous avons décidé de confier au Conseil consultatif des Droits de l'Homme -institution nationale plurielle et indépendante, chargée, entre autres missions que Nous lui avons assignées, de défendre les causes des Marocains résidant à l'étranger- le soin de mener de larges consultations avec toutes les parties concernées en vue d'émettre un avis consultatif concernant la création de ce nouveau Conseil, qui se doit d'allier, dans sa composition, les exigences de compétence, de représentativité, d'efficacité et de crédibilité.A la lumière des recommandations qui seront soumises à Notre Majesté, en la matière, Nous édicterons le Dahir portant création du Conseil Supérieur de la Communauté Marocaine à l'Etranger que Nous installerons, par la grâce de Dieu, au cours de l'année 2007.))
Nous demandons que la consultation soit démocratique et que la CCDH doit rester neutral sans préférer une ONG MRE sur une autre et sans descrimination.la plateforme a aussi le droit d'étre soutenu par la CCDH pour qu'on organise notre débat national sur les MRE.Nous demandons à tous les membres de la CCDH d'ouvrir un dialogue avec tous les ONG des MRE qui sont partout dans le monde et nous annonçons que personne n'a le droit de parler au nom des MRE avant la constitution du conseil superieur des MRE.Nous invitons une autre fois tous les membres de la CCDH de participer dans le debat national sur les MRE qui sera organisé le mois prochain au Maroc.

03 novembre 2006

Communiqué de Presse

Nous informons l'opinion publique, les associations de défense de droits de l'homme, les composantes de la société civile au Maroc et à l'étranger, les partis politiques et les syndicats, que le dénommé Ouadghiri ainsi que le groupe qui l'a accompagné, constitué de quelques ONG des migrants marocains ont malencontreusement ajouté mon nom et celui de l'organisme que je représente, la Plate forme Intercontinentale des MRE, sans mon accord et sans qu'il y ait concertation, en guise de solidarité avec un Conseiller accusé de fraude électorale.

Au nom de la plateforme que je représente, j'exige le retrait immédiat de mon nom de la liste des signataires -liste dont j'ignorais l'existence. Je rappelle également que de tels comportements sont réprimandables d'un point de vue éthique et témoignent d'une attitude irresponsable, d'où mon indignation suite à l'ajout de mon nom sur une liste dont les auteurs défendent des positions condamnables n'étant liées ni de près ni de loin à notre éthique et à l'idéal que nous défendons.

Dans l'attente d'une réponse de la part du dénommé Ouadghiri et du groupe qu'il représente, j'exige la suppression de mon nom de cette liste et des excuses en raison de cette attitude très irresponsable et inacceptable.

Jamal Eddine Ryane
Plate Forme Intercontinentale des MRE
Amsterdam le, 1er novembre 2006.

02 novembre 2006

بيان صحفي




نخبر الرأي العام الوطني و الجمعيات النشيطة الحقوقية منها و المدنية في الداخل و الخارج والهيئات السياسية والنقابية أن المدعو السيد الودغيري و معه الوفد المرافق له المكون من جمعيات للمهاجرين بالخارج للتضامن مع احد المستشارين المتهمين بالفساد الانتخابي قد قاموا بادراج اسمي و اسم المنظمة التي أمثلها أرضية مابين القارات للمغاربة القاطنين بالخارج دون موافقتي أو استشارتي أو طلب رأيي في الموضوع
و باسم الإطار الذي أنتمي اليه أطالب سحب اسمي فورا من لائحة الموقعين على تلك اللائحة التي لا علم لي بوجودها أضف إلى ذلك ان مثل هكذا تصرفات تعتبر مخلة للأخلاق وسلوكا لا مسؤولا البتة لذا أستنكر و بشدة ادراج اسمي في لائحة لا تعبر إلا عن رأي أصحابها جندوا أنفسهم للدفاع عن قضايا فاسدة لا تربطنا بها أية علاقة تذكر
و في انتظار رد كتابي سريع أدعو السيد الودغيري ومجموعته العمل فورا على تشطيب اسمي من اللائحة و تقديم الاعتذار عن هذا السلوك الغير مقبول أصلا
و حرر بأمستردام في فاتح نونبر 2006

السيد جمال الدين ريان

أرضية مابين القارات للمغاربة القاطنين بالخارج


01 novembre 2006

Des MRE pour un conseil élu












Le débat à propos du Conseil supérieur de la communauté marocaine à l'étranger se poursuit.
La "Plate-forme intercontinentale des MRE" vient de demander que les membres de ce conseil soient tous élus.
Le Conseil supérieur de la communauté marocaine à l'étranger, annoncé par Sa Majesté le Roi Mohammed VI lors de son discours du 6 novembre 2005, continue de susciter le débat parmi les ONG des Marocains de la diaspora.
Cette fois, c'est au tour de la " Plate-forme intercontinentale des MRE", association qui a ses quartiers généraux à Amsterdam, de faire des propositions pour «garantir une représentation équilibrée des MRE» au sein de ce Conseil.Selon elle, le fait "désigner quelques membres et d’en élire d'autres risquerait de créer une crise dans les rangs des MRE et ouvrirait la porte devant les pratiques du clientélisme partisan". Pour cette ONG, tous les membres devraient être élus par de "grands électeurs", élus, pour leur part, dans des circonscriptions qui respecteraient le nombre des MRE dans chaque pays ou région.
La "Plate-forme intercontinentale des MRE" propose également que des membres du Conseil supérieur puissent prendre part aux Conseils d'administration d'établissements ou de sociétés publics ayant une relation avec la communauté marocaine à l'étranger.Cette ONG apporte également sa contribution au débat sur la participation des MRE aux prochaines élections législatives de 2007 en se disant favorable à une liste nationale pour les Marocains de la diaspora, à la manière de ce qui a été décidé pour la représentation féminine lors des dernières élections. Une telle décision, pour cette ONG, doit être avalisée par le Conseil supérieur pour éviter les écueils juridiques des circonscriptions à l'étranger, mais surtout l'expérience de 1984.

Pour finir, la " Plate-forme intercontinentale des MRE" annonce l'organisation, pour ce mois de novembre 2007, d'un débat national autour des questions intéressant tous les aspects de la vie des Marocains du monde et de leurs liens avec leur pays d'origine.

Un premier projet de dahir régissant la constitution du Conseil supérieur de la communauté marocaine résidant à l'étranger avait institué trois catégories de membres. Il s'agit tout d'abord des personnalités désignées par Sa Majesté le Roi Mohammed VI sur proposition de l'autorité gouvernementale chargée des Marocains résidant à l'étranger. Ces personnalités doivent justifier d'un engagement et d'une action notoire en ce qui touche aux questions de l'immigration.

La deuxième catégorie comprend des membres de droit dont le Premier ministre, onze membres de son cabinet (Intérieur, Justice, Finances...) et les représentants de plusieurs organismes comme le GPBM (Groupement professionnel des banques du Maroc) et la CGEM. Enfin, la troisième catégorie est composée de membres élus au suffrage direct dans des circonscriptions à définir par voie réglementaire et via des élections qui se dérouleront sur la base des registres consulaires et diplomatiques. Avec cette condition qu'électeurs et candidats devront avoir résidé dans leur circonscription au moins deux années avant la date retenue pour le scrutin.

Le Conseil supérieur de la communauté marocaine à l'étranger sera appelé à s'exprimer, à titre consultatif, sur tout projet de loi ou de règlement intéressant les Marocains résidant à l'étranger, mais aussi à collaborer à l'élaboration des politiques publiques en la matière. Ses activités sont sanctionnées par la publication de rapports annuels soumis au Souverain.

Le 31-10-2006 Par : Mohamed Boudarham