« L’Amazigh ne peut être considéré autrement que comme une langue nationale » ce que le leader du partie Alistiklal « indépendance » Abbas El fassi, a déclaré lors de meeting de la jeunesse Istiklalienne qu’a lieu à Agadir le 08 septembre 2005.Les mêmes parties ont déclares dans un communiqué du ministère de l'Intérieur du vendredi 16 juin 2006 et qui affirme que "Les Marocains résidant à l'étranger ne pourront pas prendre part aux "législatives "de 2007”.
Deux déclaration qui restent toujours une preuve d’hostilité historique de certains "parties politiques”, en particulier et celle d’autres parties politiques en général issus du mouvement dit national,envers la composante Amazigh soit de dans ou à l'exterieure.Meme si j'ai jamais qualifié la participation aux élections Marocaines ,vue la composante Amazigh toujours indésirable,aucun partie n'a pas le droit de décider à la place de peuple Amazigh ni provoquer les majoritaires Amazighs.
Pour réagir à ce genre d’opposition/position(Et parmi autres comme le cas d'interdictions aux Citoyens Marocain à l'étranger de ne pas participer aux "élections" en 2007) qui n’est plus surprenante, on doit d’abord définir le terme en question « national » qui veut dire tout simplement tout ce qui est sur le territoire Marocain .Alors ceux qui soutient l’officialisation de la langue Amazigh en tant que langue nationale ,devront avoir de la honte voyant le fait que l’Amazigh est national sans votre position hostile et honteuse .Ce genre de contradictoires ne peuvent pas s’imaginer que dans un pays avec un histoire très antique et qui insiste que son histoire commence avec le colonialisme des Idrisses.
Rien de surprenant comme déjà signalé.Meme un « Amazigh » dit militant a déclaré la même chose dans une de ses sorties médiatiques, en affirmant que l’officialisation de l’Amazigh nécessite un référendum et l’accord préalable des « acteurs » politiques et de sa société civile .Sachant que l’imposition de l’Arabe s’est faite de manière arbitraire et despotique sans référendum. Et bien, c’est si vous les parties politiques qui décident le destin de peuple Amazigh, votre déclaration de rendre leur parlé quotidien comme une langue nationale, est plus humanitaire que ce que l’histoire de nos ancêtres nous a raconté .Merci Dieu tout puissant ! Vous auriez du revivre les années de trahison, plomb, maison Bricha, Aix les bains, Saghro, Ajdir…pour nous éduquer et pour qu’ils nous fassent oublier nos revendications éternellement.
La politique mondiale a changé et cessé de marcher comme ça .Abdelaziz Bouteflika un jour disait la même choses quand il a considéré l’officialisation de l’Amazigh comme un rêve impossible à réaliser ,mais le mouvement Amazigh Kabyle guidé par les délégués Del Aruch qui possèdent les outils et les techniques de mobilisation sur le territoire Kabyle ,ont répondu un an plus tard avec leur façon pacifique et civilisationelle .Alors le « grand chef sauveur » Abdelaziz demande le pardon et souhaite par l’intermidiare de fils « Amazigh » Ouyehia ,que les discussions officielles doivent être ouvertes avec les délégués Del ksur sur le contenu de la plate-forme .En effet ,après plusieurs volets de débat sérieux ,les deux cotés ont déclaré le commencement de la mise en application immédiate de tous les points sensibles de la plate-forme y compris le constitutionnalisation de l’Amazigh sans consulter les parties Algériennes ou prendre en considération leur position ni considérer l’affaire comme une question de référendum que le peuple Algérien doit accepter ou rejeter .
Aussi au Maroc, si l’IRCAM et le congrès mondial Amazigh et les parties politiques Berbère qui verront le jour dans des prochains moments où la cause croisera des défis impardonnables, ont avalé sans pitié quelques personnes « Amazigh » qui sont à la poursuite de l’appât délicieux « argent/pouvoir », le mouvement Amazigh est toujours solide, attaché aux revendications Amazigh légitimes ; identitaires, linguistiques, culturels, économiques et politiques.
Ni l’apaisement de la cause Amazigh ni la provocation du mouvement Amazigh à travers les sorties médiatiques des « acteurs » politiques et les des décisions politiques prises , ne sont pas les meilleurs voies .Dans ce cadre ,il est à préciser que si le mouvement reprennent les moyens traditionnels qui basent sur les confédérations /coordinations régionales sans aucun complexe ,on va voir si c’est la volonté du peuple et son histoire qui décident ou bien la volonté des parties qui accumulent que les défaites et les catastrophes et qui n’arrivent pas à comprendre les raisons pour lesquelles elles sont dans la scène politique et la mission dont elles sont chargés .La situation du monde Amazigh dit monde rural et l’immigration clandestine dévoilent la récolte et le palmarès désastreux de ces groupes nommés « parties ».
Il est à signalé que le leader de la partie USFP l’union socialiste des forces populaires a confirmé la même position que celle de son allié Istiklalienne ce qui montre à l’avis publique que le choix du moment qui se coïncide avec le travail acharné en faveur de la cause Amazigh chez les voisins Algériens ,n’est pas innocent et reste incompréhensible sachant que les parties politiques au Maroc s’alimentent des voies des « Imazighens » durant les compagnies électorales .La position en question débute de la même source qu’inculpe la renaissance Amazigh de déstabiliser l’unité de la nation.
Pour conclure ,la réaction la plus significative est venue de la part de INDH l’initiative nationale pour le développement humain comme un exemple vivant pour ceux qui doutent encore que les élites de ce pays y compris les parties « politiques »,devront tous reprendre les cours de la maternelle ou bien les dissoudre pour parler d’une transition démocratique réelle .Si les parties politiques n'acceptent pas les vrais citoyens Marocains de participer et" faire la politique" ,ces même parties ont déjà violé les droits linguistiques ,identitaires,économiques et sociaux Amazigh avant de quitter leurs territoires /terre Marocaine.C'est l'autre face du Maroc que vous ignorez ! Soyez les biens venus dans votre chère patrie ! Si le peuple qui décide dans les pays développés, ici au Maroc ce sont des personnes et "des parties politiques".
Par : Omar Zanifi.
Asif n Dades/Ouarzazate /Maroc.